Les sorties de Michel Flandrin

Interview de Frédéric Richaud

Nouvelle production du Centre Dramatiques Des Villages du Haut-Vaucluse, Jules et Marcel puise dans la correspondance entretenue par Marcel Pagnol (1895-1974) et l’acteur Jules Raimu (1883-1946). Créée par Philippe Caubère et Michel Galabru, l’adaptation de Pierre Tré-Hardy sera reprise, le 29 mars à Vallaurie, par Roland Peyron et Frédéric Richaud, directeur du Centre Dramatique.

Interview de Caroline Maffre

Labellisé Scène Conventionnée d’Intérêt National art en territoire, le Centre dramatique des Villages du Haut -Vaucluse étend sa saison sur 16 communes du Nord Vaucluse et de la Drôme provençale.

Paroles au féminin, l’intitulé sous-tend la nouvelle saison qui affiche 17 propositions.

La sélection scolaires- jeune public regroupe une dizaine de propositions dont Le Petit Prince m’a dit, écrit et mis en scène par Alain Ubaldi, fidèle compagnon du CDDV et Beatrix par la compagnie avignonnaise A Divinis.

Plus de commentaires en compagnie de Caroline Maffre, responsable de la programmation jeune public et de l’éducation artistique.

Prochains spectacles : Vive : jeudi novembre, 20H30, Espace culturel de Vaison-La-Romaine.

Le Petit Prince m’a dit : jeudi 21 novembre, 19H, salle La Garance, Sérignan-du-Comtat.

Interview de Julie Charrier

Le Parcours de l’Art place son trentième anniversaire sous le signe de la rencontre et la transmission. Corps et mouvements regroupe vingt artistes dont le dessinateur Edmond Baudoin, la danseuse-chorégraphe Nadia Vadori-Gaultier, le compositeur-vidéaste Thierry de Mey et la danseuse Macha Polivka.

Jusqu’au 27 octobre, les visites en entrée libre se complètent de Happy Hours artistiques déclinées chaque fin de journée, de performances et de projections-débats.

Le programme anniversaire commenté par Julie Charrier.

Le Parcours de l’art : jusqu’au 27 octobre, Avignon.

Interview de Bernadette Rey Flaud

Après la fête d’anniversaire en mai dernier, les Amis du Théâtre Populaire d’Avignon repartent pour une 70ème saison. Bernadette Rey Flau et ses complices composent une affiche en dix chapitres.

Ligne classique, requalification des mythes historiques, Recours aux repères historiques d'hier et d'aujourd'hui,

les ATP ouvrent et bouclent leur saison sous le signe de l’imaginaire et la fantaisie. Fin mai, L’Homme et le pêcheur est une sarabande au bord de l’eau dans le pur esprit des lazzis et des tréteaux. Le 29 octobre marque le retour de Une Ombre Vorace. Imaginé par le dramaturge argentin Mario Pensotti, ce dialogue entre deux hommes qui ne se parlent pas, demeure l’une des plus séduisantes découvertes du dernier Festival d’Avignon.

Interview de Chloé Lechat

La Traviata ouvre la saison lyrique avignonnaise dans une nouvelle production mise en scène par Chloé Lechat.

Musicienne, librettiste, élève puis assistante du dramaturge Stéphane Braunschweig, la réalisatrice brise l’image doloriste de la pure héroïne qui brûle sa fortune, sa dignité, sa santé à la flamme de ses sentiments. Le clivage entre l’approche surplombante et compassée de Dumas et la mélancolie humaniste de Verdi, sous-tend, ici, la passion entravée de Violetta et Alfredo.

Rencontre avec Chloé Lechat à quelques minutes de la pré-générale.

La Traviata : vendredi 11, mardi 15 octobre 20H

Dimanche 13 octobre 14H30 Opéra du Grand Avignon.

Interview de Mathieu Castelli

Lors des trois derniers mois de 2024, la Scène conventionnée Art-Enfance-Jeunesse d’Avignon affiche une programmation en lien avec ses missions.

Comme le veut la tradition, Le TOTEM ouvre sa saison par une grande fête dans l’espace public. Innovation cette année, le Décollage immédiat aura lieu au cœur du Square et dans la cour de l’école Marcel Perrin, au pied des bureaux de la scène conventionnée, boulevard Monclar.

Plus de détails et commentaires en compagnie de Mathieu Castelli, directeur du TOTEM.

Décollage immédiat : samedi 12 octobre, à partir de 14H30

Gagarine is not dead, proposition acrobatique et aérienne : 16H, cour de l’école Marcel Perrin.

 

Interview de Jessica Le Pape et Aurore Marchand

Une rencontre, trois prologues, deux immersions, une générale ouverte aux jeunes spectateurs, un baptême de l’air, cet inventaire à la Prévert accompagne les représentations de La Traviata, ouvrage de Giuseppe Verdi Verdi (1813-1901) qui ouvre la saison lyrique avignonnaise.

Ces actions périphériques sont prises en charge par Jessica Le Pape et Aurore Marchand, respectivement responsable des actions culturelles et chargée du développement musical-chant à l’Opéra du Grand Avignon.

Plus de détails en compagnie des intéressées.

Contacts :

Jessica Le Pape : jessica.lepape@grandavignon.fr

Aurore Marchand : aurore.marchand@grandavignon.com

Interview de Gustavo Giacosa

Styliste en pointe dans les années 80, Melina Riccio abandonna son atelier pour... convoler avec le Christ. L’internement, la rue.., entourée de quelques protecteurs, elle élabore aujourd’hui des œuvres in situ, appelées à être démantelées et offertes aux passants.

Aux côtés du pianiste Fausto Ferraiuolo, son complice de toujours, Gustavo Giacosa, par ailleurs collectionneur et commissaire d’exposition, prend la parole (une première) et questionne les rapports à la famille, à l’acception, au marché de l’art ; et la notion de récupération.

M. un amour suprême : samedi 12 octobre, 20H, Théâtre des Halles Avignon.

Interview de Raymond Duffaut

Aux commandes de Musique baroque en Avignon, Raymond Duffaut sélectionne sept rendez vous, du cœur de l’automne au terme du printemps.

Le directeur artistique revient sur le parcours contrasté de l'association fondée par le hautboïste Jean-Claude Malgoire et commente sa programmation du quart de siècle.

Concert du Centro di Musica Antica Ghislieri : dimanche 20 octobre, 16H, Opéra du Grand Avignon.

Léopold Gilloots-Laforgue, accompagné par Paul Montag (piano) : dimanche 24 novembre 17H, salle des préludes Opéra du Grand Avignon.

Interview de Nolwenn Le Doth

Il y a le grand frère, il y a la petite sœur. C’est une histoire de famille. A la fois terriblement banale. C’est l’histoire d’un inceste.

Nolwen Le Doth signe Chevaleresses, premier texte ancré dans son enfance bretonne. Le récit de vie constitue le fil conducteur sur lequel se greffe un périple intérieur, puis les chausse-trapes de la procédure judiciaire.

Pour son coup d'essai d'autrice, Nolwenn Le Doth nomme les choses, fédère les talents et cimente les amitiés.

Chevaleresses : jeudi 10, vendredi 11 octobre, 20H, Théâtre des Carmes Avignon.